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Rousset subjugué par Anthony Lopes, le chef de la confrérie des gardiens

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Joueur le plus capé de l’effectif lyonnais, Anthony Lopes a connu une évolution exceptionnelle dans sa carrière. Natif de Givors, l’international portugais a montré toute l’étendue de ses qualités et aujourd’hui il est devenu le Monsieur Plus de l’OL. Une progression qui impressionne plus particulièrement un certain Gilles Rousset. 

 

Interviewé il y a quelques jours par le site « Olympique et Lyonnais », celui qui a occupé le poste d’entraineur des gardiens du centre de formation de l’Olympique Lyonnais est revenu sur la très belle progression d’Anthony Lopes depuis ses grands débuts au sein du centre de formation. « Tous les gardiens m’ont marqué par leurs personnalités. Globalement, j’avais une relation privilégié avec chacun d’entre eux car nous formions une confrérie. Mais c’est évident que la progression d’Anthony Lopes a été remarquable. Il avait d’indéniables qualités mais il a su travailler et s’accrocher pour arriver là où il en est aujourd’hui. » Explique Gilles Roussel.

Avant de poursuivre et confirmer l’information comme quoi Lopes n’était que le deuxième choix dans la tête de Claude Puel lorsque ce dernier était entraineur du club rhodanien. Puel préférait voir Mathieu Gorgelin au poste de numéro un et un Anthony Lopes en simple doublure. « Sur ce choix, en interne, nous n’étions pas d’accord avec ce choix et nous en avions fait part à Claude Puel, alors entraîneur de l’équipe première. Sincèrement, je pense qu’ils avaient un niveau assez similaire, Le plus logique aurait été d’opter pour l’alternance, surtout à cet âge-là. Mais il préférait Mathieu à Anthony donc je devais me plier à ce choix. Cette décision n’était pas la mienne, je l’ai subi. »

 

Des frictions avec Lopes 

 

Gilles Rousset a marqué de son emprunte le club lyonnais surtout au niveau du centre de formation. Il n’est pas forcément étonné de la longévité d’Anthony Lopes car ce dernier possède un caractère de champion et il est même parfois trop investi dans ce qu’il fait. Durant cette période de formation, Gilles Rousset a parfois dû élever la voix. « Tout comme moi, il a un fort caractère et d’ailleurs on s’est chopé 2-3 fois. Je me souviens, à partir du jeudi, il se fermait car il savait qu’il ne jouerait pas le week-end. Mais je le comprenais. De mon côté, j’étais simplement dans mon rôle d’éducateur. Je ne faisais qu’appliquer les consignes que nous avions. » a assuré l’ancien portier international français qui est plus fier que jamais de la progression de l’enfant lyonnais qui a récemment disputé son 300e match de Ligue 1 sous le maillot lyonnais.

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